Image illustrative de Doctor Who
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Doctor Who

Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...

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Terminée Anglaise, GB 25 minutes
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) 1963
12.11

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Image illustrative de l'épisode 13.05 - La planète diabolique - Partie 1

Planet of Evil (1)

Le Docteur et Sarah atterrissent sur une planète jungle où une équipe de scientifiques semblent être attaqués par une mystérieuse force invisible.

Diffusion originale : 27 septembre 1975

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Diffusion française : 27 septembre 1975
Réalisat.eur.rice.s : David Maloney
Scénariste.s : Louis Marks, Robert Holmes , Louis Marks , Robert Holmes
Guest.s : Haydn Wood , Louis Mahoney , Terence Brook , Tony McEwan , Ewen Solon , Prentis Hancock , Frederick Jaeger , Graham Weston , Michael Wisher , Terry Walsh , Max Faulkner

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Avatar Gizmo Gizmo
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 22 mai 2021 à 13:06


Un concept de base très Star Trek, avec un superbe travail sur les décors, l'atmosphère et la photographie bien qu'encore une fois le titre nous gâche un peu la révélation finale.

Pour le reste, si les interactions Docteur/Sarah sont toujours aussi réussies, j'espère que le cast secondaire va un peu s'étoffer car on est vraiment dans du basique de chez basique de ce côté.


Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 09 octobre 2014 à 23:47

DOCTOR: Listen, we're on the edge of a time-space vortex and you're talking in minutes!

Planet of Evil. Ou comment la BBC arrive à faire des trucs magnifiques en étant fauchée. Là pour le coup, ce n'est peut-être pas sans défauts loin de là, mais le décor de la jungle entièrement construit en studio est très saisissant. L'ambiance visuelle, et sonore d'ailleurs avec les quelques musiques et les bruitages bien placés, contribuent à dépeindre une atmosphère angoissante et surnaturelle au possible. Zeta Minor, la planète la plus éloignée de l'univers connu, au bord des frontières du cosmos, où une équipe de scientifiques disparaît peu à peu, sans qu'il n'y ait de traces ni de meurtriers...

Il ne nous faudra pas longtemps pour comprendre que c'est la planète elle-même qui est consciente. Quelle idée ! C'est en gros ce qu'a repris The Doctor's Wife, le fan-favourite de Gaiman/Moffat en saison 6 (de la nouvelle série). L'épisode rentre vraiment dans le cadre pure science-fiction et c'est pour moi très représentatif de ce que peut aussi proposer Doctor Who, après une overdose d'histoires terrestres parfois.

Le déroulement "Le Docteur et sa compagne arrivent sur la planète, découvrent les morts, sont pris pour les coupables et sont faits prisonniers mais parviennent à s'échapper", c'est cela dit extrêmement classique. Après, si la recette a tenu pendant plus de 33 ans, c'est qu'elle est tout de même efficace. Le problème est surtout qu'on met beaucoup trop de temps à amener l'intrigue aux éléments les plus intéressants.

Le cast de personnages secondaires est assez faible, et l'intro sans Docteur/Sarah dure bien 5 minutes, je ne suis jamais fan de ce parti-pris. Bref, pour le dire dans des mots durs : on s'ennuie un peu, une première cette saison. Cela ne dure pas et l'épisode sait ensuite attirer notre attention, et pose tout de même de bons éléments pour la suite : Sarah qui peut être possédée, la question de l'oxygène, ou le cliffhanger qui nous révèle une bien étrange apparition.

SARAH: So the people who sent that signal must be humanoid. Well, if they've got hands?

Sarah et le Doc sont tout de même bons comme toujours, et le fait de les séparer pour découvrir de nouveaux lieux de l'intrigue puis de les faire se retrouver à la fin de l'épisode, n'est pas une mauvaise structure au contraire. Tom Baker est de plus toujours aussi drôle :

VISHINSKY: Yes, but any signal would have been monitored by our receivers. DOCTOR: Perhaps my receivers are better than yours. PONTI: Shut up! DOCTOR: My manners certainly are.

Et leur échange dans la cellule, où Sarah propose au Docteur de s'échapper par la fenêtre, le Docteur répond d'un air assez suffisant que c'est verrouillé en mode "pauvre fille crédule", et que Sarah lui rappelle que l'endroit où ils sont prisonniers n'a plus de batterie, d'un ton encore plus suffisant en mode "tu veux faire le malin mais j'ai pensé à un truc auquel tu n'as pas pensé", et le Docteur de sourire derrière... c'est si attachant ! Jamais le Docteur n'avait vraiment considéré Sarah comme son égale, sûrement à cause de la personnalité très différente du Troisième Docteur. Ce duo était fait pour être ensemble et ce genre de simples scènes et de jeux d'acteur le prouve bien.

Pour l'instant la première partie est suffisamment intrigante pour ne pas trop développer d'enjeux, ce qui laisse le champ libre pour un envol dans le scénario. Il faut tout de même que l'histoire se secoue un peu les puces ! Mais pour le moment Planet of Evil, partie 1, convaint grâce à son pitch de base de planète possédée très intrigant et parfaitement retranscrit à l'écran pour qu'on soit embarqué tout de suite, malgré les longueurs du début.


14

3 notes

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Avatar de Gizmo
Gizmo a noté cet épisode - 14
22 mai 2021
Avatar de OmarKhayyam
OmarKhayyam a noté cet épisode - 14
03 juil. 2020
Avatar de Galax
Galax a noté cet épisode - 14
23 mars 2014

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